Egzoset
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Salutations Vlampo,
On en a déjà discuté auparavant et il avait été établi que le Vénus n'offre pas de réglage de température, puisqu'on ne peut compléter une boucle de contrôle rétro-active dite thermostatique en l'absence de capteur (que je demande toujours à voir, si jamais il existe). Ce que le Vénus contrôle c'est la puissance, laquelle se traduit ensuite par une température variant en fonction de facteurs comme le temps de pré-chauffe, l'humidité dans le bol, le débit, etc...
Considérant que le réglage de puissance du Vénus équivaut à un contrôle rhéostatique je dirais que ce fonctionnement "mou" que tu décris s'avère en fait correspondre à la plage inférieure d'application pour ce mode de contrôle uniquement. Advenant le cas d'un authentique réglage de température on pourrait espérer des temps de pré-chauffe considérablement réduits tout en supportant une action vaporisante plus vigoureuse, à mon humble avis... Ça ce serait le bout supérieur du spectre alors l'exploration ne fait que commencer j'ai l'impression!
Intéressant, voilà donc qui établit vraisemblablement un borne inférieure pour la puissance en termes pratiques.
Mais j'y pense, pas besoin de thermostat électronique pour réduire le temps de pré-chauffe: dans ce contexte particulier (avec usage d'un élément halogène) un senseur photo-sensible paraît tellement plus approprié (!) et ce d'autant que ça aurait pour avantage non négligeable de se traduire par un temps d'inertie également écourté - puisque ça élimine la masse thermique (comme avec un thermocouple couplé solidairement à une masse chauffante, ce qui implique alors un délai à cause du temps de dispersion de la chaleur dans un solide)... Rien de tel avec une photo-diode car elle détecterait immédiatement un changement du niveau d'éclairement, donc pas mal moins d'inertie en fin de compte.
Pour conclure disons que je miserais éventuellement mes billes sur la régulation de l'intensité lumineuse plutôt que sur celle de la température car si déjà le Vénus s'en tire avec les honneurs en mode rhéostatique portable alors le contrôle du flux lumineux couplé à un léger sur-dimensionnement de l'ampoule (35 à 50 Watts?) résoudra sûrement les quelques irritants résiduels!
On en a déjà discuté auparavant et il avait été établi que le Vénus n'offre pas de réglage de température, puisqu'on ne peut compléter une boucle de contrôle rétro-active dite thermostatique en l'absence de capteur (que je demande toujours à voir, si jamais il existe). Ce que le Vénus contrôle c'est la puissance, laquelle se traduit ensuite par une température variant en fonction de facteurs comme le temps de pré-chauffe, l'humidité dans le bol, le débit, etc...
Considérant que le réglage de puissance du Vénus équivaut à un contrôle rhéostatique je dirais que ce fonctionnement "mou" que tu décris s'avère en fait correspondre à la plage inférieure d'application pour ce mode de contrôle uniquement. Advenant le cas d'un authentique réglage de température on pourrait espérer des temps de pré-chauffe considérablement réduits tout en supportant une action vaporisante plus vigoureuse, à mon humble avis... Ça ce serait le bout supérieur du spectre alors l'exploration ne fait que commencer j'ai l'impression!
Intéressant, voilà donc qui établit vraisemblablement un borne inférieure pour la puissance en termes pratiques.
Mais j'y pense, pas besoin de thermostat électronique pour réduire le temps de pré-chauffe: dans ce contexte particulier (avec usage d'un élément halogène) un senseur photo-sensible paraît tellement plus approprié (!) et ce d'autant que ça aurait pour avantage non négligeable de se traduire par un temps d'inertie également écourté - puisque ça élimine la masse thermique (comme avec un thermocouple couplé solidairement à une masse chauffante, ce qui implique alors un délai à cause du temps de dispersion de la chaleur dans un solide)... Rien de tel avec une photo-diode car elle détecterait immédiatement un changement du niveau d'éclairement, donc pas mal moins d'inertie en fin de compte.
Pour conclure disons que je miserais éventuellement mes billes sur la régulation de l'intensité lumineuse plutôt que sur celle de la température car si déjà le Vénus s'en tire avec les honneurs en mode rhéostatique portable alors le contrôle du flux lumineux couplé à un léger sur-dimensionnement de l'ampoule (35 à 50 Watts?) résoudra sûrement les quelques irritants résiduels!
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