Egzoset
Banned
Mes salutations à tous,
Après plus de 2 ans à évaluer un HerbalAire, puis maintenant 1 mois passé presque exclusivement à m'adapter au VaporGenie, euh... Je peux enfin poster le compte-rendu que j'aurais tant souhaité lire à l'approche de Noël 2010!! Par conséquent le lecteur comprendra sans peine que je procède ici à cette mise-à-jour avec un plaisir longtemps attendu!...
L'électricité asservie par régulateur thermostatique m'a plu mais je trouve aujourd'hui que le feu s'avère grand gagnant - du moins il me semble l'être en attendant l'avènement de l'excitation électro-magnétique par induction...
Donc je vous propose de procéder en commençant avec la source d'énergie qu'on aurait grandement tort de négliger dans un cas pareil:
De tous les briquets jetables à flamme jaune sans pierre que j'ai pu trouver ça a été mon préféré, les Bic & Co. à pierre compliquant l'apprentissage nécessaire à l'obtention d'une session cannabique satisfaisante.
Quant aux modèles à jet bleu, celui qu'on m'a vendu n'a servi qu'à laisser une marque de brûlure qu'on aperçoit d'ailleurs dans la partie droite des images suivantes, par exemple ci-dessous il s'agit du coin supérieur:
Tandis que là ça se voit mieux si on regarde un peu vers le bas:
Ces choses ayant maintenant été montrées je peux poursuivre avec leur description.
Pour débuter il y a eu le problème de la chaleur intense au niveau du bec puis une fois réglé par l'ajout d'une extension (lire "tuyau d'aquarium") en plastique (PVC) ça m'a amené à surchauffer la sphère contenant l'échangeur thermique dont le coeur se compose d'une rondelle perméable au fumet (faite en céramique). Une fois que le fini a suffisamment cuit son odeur ne m'y a plus fait penser par la suite. À ce propos je trouve important de signaler le fait que mes jointures sont des tubes d'extension blancs HerbalAire en teflon, ce qui permet d'implémenter une interface à peu près correcte avec le PVC de sorte à en limiter l'exposition aux températures excessives.
Mon plan rapproché montrant ladite sphère illustre comment j'ai modifié l'échangeur thermique en y logeant une seconde rondelle à diffuser l'air chaud. J'ai facilement pu en réduire l'épaisseur à 5 mm grâce à une simple lime car ce matériau a beau être très dur il suffit de peu pour qu'il s'effrite (lire "fragile")!
En tout cas tels que montrés mes tubes rendent possible un ajustement assez fin du positionnement, quoique restreint, cet ensemble ayant pour première fonction d'assurer une température confortable là où les lèvres touchent le bec. De plus mon 2ième "puck" noir déplace la plage d'opération de sorte que je parvienne à éviter la combustion la plus part du temps, le briquet étant alors l'élément inconnu qui fera basculer d'un bord ou de l'autre...
Voici de quoi a l'air mon rituel actuellement.
Pré-chauffage (par inhalation) en comptant jusqu'à 5 ou 6, le bout visible de la flamme ne dépassant pas le centre de la cavité frontale.
Sans m'interrompre j'éloigne l'extrémité de ma flamme vis-à-vis l'entrée en comptant jusqu'à 3, pour permettre que la chaleur se redistribue et ainsi éviter une surchauffe qui rôtirait l'herbe.
Une fois arrivé au seuil désiré, idéalement, je tente d'être très attentif aux sensations perçues alors que je "décape" à l'air chaud ma fleur cannabique émiettée. Plutôt que de bouger la flamme ou la tête ou les deux je préfère opérer mon contrôle sur la main qui tient la pipe, en faisant plus ou moins pénétrer la flamme dedans. Ça me rappelle l'action de "tapoter" mais ici il ne saurait être question de permettre le moindre contact avec cette flamme qui autrement produira de la suie tout en ruinant la session, ce qui m'a valu plus d'un nettoyage...
Considérant que la matière appauvrie qui sort de mon VG servira en cuisine j'ai pris l'habitude de ne pas attendre d'avoir atteint le point où ça a un goût de popcorn grillé pour changer le bol. De cette façon j'obtiens des sessions de vapo plus satisfaisantes et puis mes bols ne pèsent que 125 mg environ alors j'y gagne de plus d'une façon en comparant avec ce qu'était la situation avant, lorsque je sortais la locomotive...
La flexibilité du positionnement rendue possible à l'aide de tubes en PVC me procure le champ de vision dont j'ai besoin, je ne peux dire si ce sera toujours nécessaire mais l'idée de revenir à la configuration originale n'est pas encore exclue pour l'instant. Par contre je doute jamais pouvoir enlever la 2ième rondelle à diffuser car ça me convient trop bien: le goût et l'arôme ne sont peut-être pas aussi instantanés mais au moins j'évite le pire (lire "combustion"!) 4 fois sur 5 tandis qu'avant j'essuyais des échecs dans un rapport équivalent! Autant dire que mes meilleures sessions furent excellentes mais trop rares jusqu'à ce que je fasse les changements décrits.
Aujourd'hui ça me plaît tant et si bien que le "Plan-B" prend maintenant toute la place au point que je ne regrette pas mon HerbalAire (qui justement est tombé en panne 1 semaine après l'achat du VG)...
Concernant le conditionnement de ma vapeur cannabique je peux enfin considérer cette affaire comme classée à toutes fins pratiques: la flamme au butane génère de la vapeur d'eau capable d'adoucir mon fumet bien assez pour que je n'y pense plus. Tout un contraste quand je songe au HerbalAire, ce qui explique que ce dernier ne me manquera pas avant longtemps, puisque mes besoins actuels sont satisfaits avec ce portable personnalisé.
Hélas le hic avec le feu c'est le feu justement...
Jusqu'ici mon meilleur briquet fut un jetable à pipe, sans pierre et à flamme douce (lire "jaune"). En fait les "piezo" sont parfaits quand on préfère ne pas inhaler d'atomes rares avec des noms de planète inconnue!... La prochaine fois que j'monte à Montréal j'pense que j'en ramèn'rai une caisse comme celui de ma photo du haut!!
La transition entre électricité et butane m'a parue fort bénéfique en fin de compte puisque la vapo de table m'a probablement préparé pour la suite alors que le feu me rend le parfum et l'arôme plus accessibles, pourrait-on dire, car ça donne des premières inhalations assez relevées... Donc aucun regret concernant le besoin de "finir" un ballon, que du bonheur en résumé!
Côté rituel il y a eu du gaspillage au départ, ce pourquoi j'ai d'ailleurs fini par modifier ma pipe à vaporiser. Cependant j'apprends à en apprécier la teneur à mesure que la maîtrise augmente et davantage... À mon avis le rituel multiplie le plaisir à la longue et ce d'autant plus qu'il encourage l'économie en m'occupant (ainsi je siphonne moins en attendant l'effet euphorisant). Avec un ballon d'HerbalAire il fallait le vider même si j'avais ma dose, grâce au mode "1 Hit" du VG j'évalue que ma consommation va tomber significativement et par ricochet en réduire l'aspect discontinu de type "Roller Coaster" du HA qui empirait mon degré de tolérance et donc rapprochait les "T-Break" après quelques temps.
En clair j'ai franchi une étape après avoir cheminé longtemps et ça m'plaît drôlement!...
Pour conclure je terminerai en mentionnant que je n'ai pratiquement jamais plus goûté au gaz butane après avoir confectionné ma rallonge. La seule ombre au tableau que j'arrive à identifier sans pouvoir imaginer de solution a trait à la pauvreté en oxygène du fumet qui pourrait ainsi favoriser l'induction de maux de bloc quand je suis moins en forme mais il faudra patienter pour voir si ça se précisera plus tard. Il reste que pour moi en ce moment le VaporGénie représente le meilleur des deux mondes entre fumée et vapeur: la puissance du feu et la sûreté de la vapeur se retrouvant combinés en 1 seul produit qui me paraît idéal dès qu'il s'agit de convertir un fumeur.
Après plus de 2 ans à évaluer un HerbalAire, puis maintenant 1 mois passé presque exclusivement à m'adapter au VaporGenie, euh... Je peux enfin poster le compte-rendu que j'aurais tant souhaité lire à l'approche de Noël 2010!! Par conséquent le lecteur comprendra sans peine que je procède ici à cette mise-à-jour avec un plaisir longtemps attendu!...
L'électricité asservie par régulateur thermostatique m'a plu mais je trouve aujourd'hui que le feu s'avère grand gagnant - du moins il me semble l'être en attendant l'avènement de l'excitation électro-magnétique par induction...
Donc je vous propose de procéder en commençant avec la source d'énergie qu'on aurait grandement tort de négliger dans un cas pareil:
(Uni-Apex Yellow Flame Piezo Butane Lighter)
De tous les briquets jetables à flamme jaune sans pierre que j'ai pu trouver ça a été mon préféré, les Bic & Co. à pierre compliquant l'apprentissage nécessaire à l'obtention d'une session cannabique satisfaisante.
Quant aux modèles à jet bleu, celui qu'on m'a vendu n'a servi qu'à laisser une marque de brûlure qu'on aperçoit d'ailleurs dans la partie droite des images suivantes, par exemple ci-dessous il s'agit du coin supérieur:
Tandis que là ça se voit mieux si on regarde un peu vers le bas:
(Egzoset's Modded Classic Maple VaporGenie)
Ces choses ayant maintenant été montrées je peux poursuivre avec leur description.
Pour débuter il y a eu le problème de la chaleur intense au niveau du bec puis une fois réglé par l'ajout d'une extension (lire "tuyau d'aquarium") en plastique (PVC) ça m'a amené à surchauffer la sphère contenant l'échangeur thermique dont le coeur se compose d'une rondelle perméable au fumet (faite en céramique). Une fois que le fini a suffisamment cuit son odeur ne m'y a plus fait penser par la suite. À ce propos je trouve important de signaler le fait que mes jointures sont des tubes d'extension blancs HerbalAire en teflon, ce qui permet d'implémenter une interface à peu près correcte avec le PVC de sorte à en limiter l'exposition aux températures excessives.
Mon plan rapproché montrant ladite sphère illustre comment j'ai modifié l'échangeur thermique en y logeant une seconde rondelle à diffuser l'air chaud. J'ai facilement pu en réduire l'épaisseur à 5 mm grâce à une simple lime car ce matériau a beau être très dur il suffit de peu pour qu'il s'effrite (lire "fragile")!
En tout cas tels que montrés mes tubes rendent possible un ajustement assez fin du positionnement, quoique restreint, cet ensemble ayant pour première fonction d'assurer une température confortable là où les lèvres touchent le bec. De plus mon 2ième "puck" noir déplace la plage d'opération de sorte que je parvienne à éviter la combustion la plus part du temps, le briquet étant alors l'élément inconnu qui fera basculer d'un bord ou de l'autre...
Voici de quoi a l'air mon rituel actuellement.
Pré-chauffage (par inhalation) en comptant jusqu'à 5 ou 6, le bout visible de la flamme ne dépassant pas le centre de la cavité frontale.
Sans m'interrompre j'éloigne l'extrémité de ma flamme vis-à-vis l'entrée en comptant jusqu'à 3, pour permettre que la chaleur se redistribue et ainsi éviter une surchauffe qui rôtirait l'herbe.
Une fois arrivé au seuil désiré, idéalement, je tente d'être très attentif aux sensations perçues alors que je "décape" à l'air chaud ma fleur cannabique émiettée. Plutôt que de bouger la flamme ou la tête ou les deux je préfère opérer mon contrôle sur la main qui tient la pipe, en faisant plus ou moins pénétrer la flamme dedans. Ça me rappelle l'action de "tapoter" mais ici il ne saurait être question de permettre le moindre contact avec cette flamme qui autrement produira de la suie tout en ruinant la session, ce qui m'a valu plus d'un nettoyage...
Considérant que la matière appauvrie qui sort de mon VG servira en cuisine j'ai pris l'habitude de ne pas attendre d'avoir atteint le point où ça a un goût de popcorn grillé pour changer le bol. De cette façon j'obtiens des sessions de vapo plus satisfaisantes et puis mes bols ne pèsent que 125 mg environ alors j'y gagne de plus d'une façon en comparant avec ce qu'était la situation avant, lorsque je sortais la locomotive...
La flexibilité du positionnement rendue possible à l'aide de tubes en PVC me procure le champ de vision dont j'ai besoin, je ne peux dire si ce sera toujours nécessaire mais l'idée de revenir à la configuration originale n'est pas encore exclue pour l'instant. Par contre je doute jamais pouvoir enlever la 2ième rondelle à diffuser car ça me convient trop bien: le goût et l'arôme ne sont peut-être pas aussi instantanés mais au moins j'évite le pire (lire "combustion"!) 4 fois sur 5 tandis qu'avant j'essuyais des échecs dans un rapport équivalent! Autant dire que mes meilleures sessions furent excellentes mais trop rares jusqu'à ce que je fasse les changements décrits.
Aujourd'hui ça me plaît tant et si bien que le "Plan-B" prend maintenant toute la place au point que je ne regrette pas mon HerbalAire (qui justement est tombé en panne 1 semaine après l'achat du VG)...
Concernant le conditionnement de ma vapeur cannabique je peux enfin considérer cette affaire comme classée à toutes fins pratiques: la flamme au butane génère de la vapeur d'eau capable d'adoucir mon fumet bien assez pour que je n'y pense plus. Tout un contraste quand je songe au HerbalAire, ce qui explique que ce dernier ne me manquera pas avant longtemps, puisque mes besoins actuels sont satisfaits avec ce portable personnalisé.
Hélas le hic avec le feu c'est le feu justement...
Jusqu'ici mon meilleur briquet fut un jetable à pipe, sans pierre et à flamme douce (lire "jaune"). En fait les "piezo" sont parfaits quand on préfère ne pas inhaler d'atomes rares avec des noms de planète inconnue!... La prochaine fois que j'monte à Montréal j'pense que j'en ramèn'rai une caisse comme celui de ma photo du haut!!
La transition entre électricité et butane m'a parue fort bénéfique en fin de compte puisque la vapo de table m'a probablement préparé pour la suite alors que le feu me rend le parfum et l'arôme plus accessibles, pourrait-on dire, car ça donne des premières inhalations assez relevées... Donc aucun regret concernant le besoin de "finir" un ballon, que du bonheur en résumé!
Côté rituel il y a eu du gaspillage au départ, ce pourquoi j'ai d'ailleurs fini par modifier ma pipe à vaporiser. Cependant j'apprends à en apprécier la teneur à mesure que la maîtrise augmente et davantage... À mon avis le rituel multiplie le plaisir à la longue et ce d'autant plus qu'il encourage l'économie en m'occupant (ainsi je siphonne moins en attendant l'effet euphorisant). Avec un ballon d'HerbalAire il fallait le vider même si j'avais ma dose, grâce au mode "1 Hit" du VG j'évalue que ma consommation va tomber significativement et par ricochet en réduire l'aspect discontinu de type "Roller Coaster" du HA qui empirait mon degré de tolérance et donc rapprochait les "T-Break" après quelques temps.
En clair j'ai franchi une étape après avoir cheminé longtemps et ça m'plaît drôlement!...
Pour conclure je terminerai en mentionnant que je n'ai pratiquement jamais plus goûté au gaz butane après avoir confectionné ma rallonge. La seule ombre au tableau que j'arrive à identifier sans pouvoir imaginer de solution a trait à la pauvreté en oxygène du fumet qui pourrait ainsi favoriser l'induction de maux de bloc quand je suis moins en forme mais il faudra patienter pour voir si ça se précisera plus tard. Il reste que pour moi en ce moment le VaporGénie représente le meilleur des deux mondes entre fumée et vapeur: la puissance du feu et la sûreté de la vapeur se retrouvant combinés en 1 seul produit qui me paraît idéal dès qu'il s'agit de convertir un fumeur.