Egzoset
Banned
Mes salutations à tous,
Il y a un bout de temps déjà que je m'intéresse aux applications de cette technologie dans le monde du vaporisme. Après plusieures enfilades l'an dernier j'ai fini par initier celle qui suit:
C'est passé aux oubliettes depuis mais j'ai fait quelques trouvailles récemment qui je pense valent la peine qu'on se les partage, d'autant plus que cela fut écrit en Français:
Si un jour nous finissons par voir apparaître des témoignages de vapotteux "à induction" ce sera vraisemblablement un peu à cause de choses dont on traite ici:
Assurez-vous d'avoir bien lu:
Là ça devient carrément stimulant parce que le mécanisme régulateur se trouve au sein de l'alliage métallique lui-même et on l'appelle l'effet Curie. Il s'agit d'une caractéristique physique des alliages les rendant fort appropriés pour la construction d'un vaporisateur car ainsi on n'a plus aucun besoin de capteurs, ni même d'un élément chauffant en fait: la base d'induction convertit l'électricité en chaleur par l'intermédiaire d'un puissant champ magnétique HF avec un rendement avoisinant 85 % si j'ai bonne mémoire... Bref, puisque l'efficacité se trouve au rendez-vous l'appareil produit peu de pertes et donc ces pertes génèrent peu de chaleur dans l'appareil.
La plaque du dessus reste froide, c'est l'ustensile en matériau magnétique qui génère la chaleur alors on pourrait très bien imaginer un disque de la taille d'un CD-ROM taillé dans le fond d'une de ces casserole dans le but de servir d'élément chauffant à l'intérieur d'un échangeur de chaleur en verre et/ou en céramique, sinon peut-être en aluminium qui n'est pas magnétique, etc.
Grâce à l'induction il n'y a pas besoin de fils, ce qui ouvre la porte à plus de liberté, autant lors de la conception du produit que durant son emploi par l'usager final... De toute façon ça tombe drôlement bien parce qu'on s'en passerait volontiers des fils dans un vaporisateur n'est-ce pas!
...
Au fond avec l'induction ça nous prendrait quoi pour se faire un vaporisateur au juste?
Éh ben, un disque au format CD-ROM 12 cm (4¾") en Phytherm192, par exemple (ne cherchez pas: y'en a pas! Du moins pas encore et cet alliage n'existe pas non plus!), euh...
Alors on a un disque en métal qui chauffe mais sans jamais dépasser le point de Curie. Ensuite on aurait à intégrer ça dans un échangeur de chaleur, or justement les boîtes de CD-ROM standard on une énorme ouverture sur le côté gauche en avant dans le couvercle tandis que les 2 coquilles sont agencées pour former 4 ouvertures réparties sur la circonférence, à raison de 2 en haut et 2 en bas.
Voilà un camouflage absolument parfait pour dissimuler le disque (intitulé "192 °C à l'ombre sur Vénus"!), avec comme support un échangeur de chaleur en matériau inerte et fiable aux hautes températures. Un vaporisateur serait obtenu en complétant un tel simili-boîtier de CD-ROM avec un bol à vaporiser ainsi qu'un tube à inhaler, une paille de verre ou autres...
Un disque de métal, 2 ou 3 autres en verre ou en céramique. On lie le tout avec un corset en silicone et ça donne:
En faisant pivoter la pièce triangulaire du dessus par rapport à celle d'en-dessous on pourrait même en ajuster le débit...
Bon alors, qu'est-ce qui n'irait pas avec une telle solution vous pensez? Le prix?!...
...
Le prix, ça non. Je ne crois pas que ce serait un facteur important. Ou en tout cas pas si on dispose déjà d'un élément inducteur. Par contre il s'agit d'une vielle enfilade et je ne suis pas trop certain que l'idée des billes soit la meilleure - d'où mes propos portant sur un disque par la suite.

Afin d'obtenir un bon transfert de chaleur ce disque pourrait être couvert d'un tapis de broches verticales faites du même métal, pour permettre de les souder telle une forêt d'épines posée sur la surface de l'élément chauffant principal. Bref, un échangeur thermique.
Ensuite pour adoucir la vapeur cannabique il va bien falloir passer par un accessoire à l'eau alors pourquoi pas un brumisateur ultrasonique?!! D'ailleurs là encore l'induction pourrait sans doute se révéler fort utile, par exemple en actionnant simultanément (i.e. SANS FIL!) un transducteur piezo-électrique logé dans un bong, cela grâce à une bobine jumelée (puisque la fréquence serait potentiellement compatible je pense)!

Donc on empile tout là-dessus:
Euh... Sauf l'article de cuisine, comme de raison!...
En dessous l'échangeur thermique en forme de boîtier de CD-ROM avec dedans le disque correspondant à la température désirée... Par-dessus le bol à vaporiser, connecté à la fente rectangulaire située à gauche du boîtier. Coiffant tout ceci, un bong à l'eau et/ou à la brume capable d'épouser la forme de l'assemblage situé dessous, puis pour finir un connecteur permettant d'y relier de la tuyauterie, menant vers un bec ou un ballon...

Il y a un bout de temps déjà que je m'intéresse aux applications de cette technologie dans le monde du vaporisme. Après plusieures enfilades l'an dernier j'ai fini par initier celle qui suit:
C'est passé aux oubliettes depuis mais j'ai fait quelques trouvailles récemment qui je pense valent la peine qu'on se les partage, d'autant plus que cela fut écrit en Français:
Si un jour nous finissons par voir apparaître des témoignages de vapotteux "à induction" ce sera vraisemblablement un peu à cause de choses dont on traite ici:
Nouveaux alliages magnétiques FeNi pour la cuisson par Induction avec Auto-Régulation de Température
Assurez-vous d'avoir bien lu:
...Auto-Régulation de Température...

Là ça devient carrément stimulant parce que le mécanisme régulateur se trouve au sein de l'alliage métallique lui-même et on l'appelle l'effet Curie. Il s'agit d'une caractéristique physique des alliages les rendant fort appropriés pour la construction d'un vaporisateur car ainsi on n'a plus aucun besoin de capteurs, ni même d'un élément chauffant en fait: la base d'induction convertit l'électricité en chaleur par l'intermédiaire d'un puissant champ magnétique HF avec un rendement avoisinant 85 % si j'ai bonne mémoire... Bref, puisque l'efficacité se trouve au rendez-vous l'appareil produit peu de pertes et donc ces pertes génèrent peu de chaleur dans l'appareil.
La plaque du dessus reste froide, c'est l'ustensile en matériau magnétique qui génère la chaleur alors on pourrait très bien imaginer un disque de la taille d'un CD-ROM taillé dans le fond d'une de ces casserole dans le but de servir d'élément chauffant à l'intérieur d'un échangeur de chaleur en verre et/ou en céramique, sinon peut-être en aluminium qui n'est pas magnétique, etc.
Grâce à l'induction il n'y a pas besoin de fils, ce qui ouvre la porte à plus de liberté, autant lors de la conception du produit que durant son emploi par l'usager final... De toute façon ça tombe drôlement bien parce qu'on s'en passerait volontiers des fils dans un vaporisateur n'est-ce pas!
...
Au fond avec l'induction ça nous prendrait quoi pour se faire un vaporisateur au juste?

Éh ben, un disque au format CD-ROM 12 cm (4¾") en Phytherm192, par exemple (ne cherchez pas: y'en a pas! Du moins pas encore et cet alliage n'existe pas non plus!), euh...
Alors on a un disque en métal qui chauffe mais sans jamais dépasser le point de Curie. Ensuite on aurait à intégrer ça dans un échangeur de chaleur, or justement les boîtes de CD-ROM standard on une énorme ouverture sur le côté gauche en avant dans le couvercle tandis que les 2 coquilles sont agencées pour former 4 ouvertures réparties sur la circonférence, à raison de 2 en haut et 2 en bas.
Voilà un camouflage absolument parfait pour dissimuler le disque (intitulé "192 °C à l'ombre sur Vénus"!), avec comme support un échangeur de chaleur en matériau inerte et fiable aux hautes températures. Un vaporisateur serait obtenu en complétant un tel simili-boîtier de CD-ROM avec un bol à vaporiser ainsi qu'un tube à inhaler, une paille de verre ou autres...
Un disque de métal, 2 ou 3 autres en verre ou en céramique. On lie le tout avec un corset en silicone et ça donne:
En faisant pivoter la pièce triangulaire du dessus par rapport à celle d'en-dessous on pourrait même en ajuster le débit...
Bon alors, qu'est-ce qui n'irait pas avec une telle solution vous pensez? Le prix?!...
...
Le prix, ça non. Je ne crois pas que ce serait un facteur important. Ou en tout cas pas si on dispose déjà d'un élément inducteur. Par contre il s'agit d'une vielle enfilade et je ne suis pas trop certain que l'idée des billes soit la meilleure - d'où mes propos portant sur un disque par la suite.

Afin d'obtenir un bon transfert de chaleur ce disque pourrait être couvert d'un tapis de broches verticales faites du même métal, pour permettre de les souder telle une forêt d'épines posée sur la surface de l'élément chauffant principal. Bref, un échangeur thermique.
Ensuite pour adoucir la vapeur cannabique il va bien falloir passer par un accessoire à l'eau alors pourquoi pas un brumisateur ultrasonique?!! D'ailleurs là encore l'induction pourrait sans doute se révéler fort utile, par exemple en actionnant simultanément (i.e. SANS FIL!) un transducteur piezo-électrique logé dans un bong, cela grâce à une bobine jumelée (puisque la fréquence serait potentiellement compatible je pense)!

Donc on empile tout là-dessus:
Euh... Sauf l'article de cuisine, comme de raison!...
En dessous l'échangeur thermique en forme de boîtier de CD-ROM avec dedans le disque correspondant à la température désirée... Par-dessus le bol à vaporiser, connecté à la fente rectangulaire située à gauche du boîtier. Coiffant tout ceci, un bong à l'eau et/ou à la brume capable d'épouser la forme de l'assemblage situé dessous, puis pour finir un connecteur permettant d'y relier de la tuyauterie, menant vers un bec ou un ballon...
